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Les jardins secrets 2006 en détail

Les Jardins secrets 2006
Plan des Jardins Secrets 01 - Le Jardin d'Ivresse 02 - L'Hortulus des Capucins 03 - L'Enclos des Cordeliers 04 - Le Jardin de St Jacques 05 - Le Jardin des Pèlerins 06 - Le Closelet des Croisades 07 - Le Petit Clos des Clarisses 08 - Le Jardin du Passeur 09 - Le Sentier du Colporteur 10 - L'Herbularium de l'Hôpital 11 - La Cour des Caorsins 12 - Le Jardin de la Sorcière et du Dragon 13 - Le Clos des Jacobins 14 - Hortus des Dames de Cahors ou des Capucines 15 - La Chapelle des Basmes 16 - La Fontaine Clément Marot 17 - Le Jardin Bouquetier 18- L'Hrtbularium ou Jardin des Simples 19 - La Cour des Copistes 20 - Le Courtil des Moines 21 - Le Préau Céleste 22 - La Place des Epices 23 - Le Jardin Mauresque 24 - Le Pourpris du Vert Galant 25 - Le Courtil de la Campas 26 - Le Capitulaire de Villis 27 - L'Hortus de la Thériaque de la Maladrerie d'Outrepont Saint Lazare 28 - L'Hortus de la Fée Mélusine 29 - Le Lavandier des Chanoines

1 - Le jardin d’ivresse. Allées des Soupirs
Jardin de l'Ivresse


Allées des Soupirs.

Au pied du Pont Valentré (14ème siècle, classé au patrimoine mondial par l’U.N.E.S.C.O), ce jardin planté de vignes fait écho au vin de Cahors.

Il est le départ du circuit des jardins secrets.

Jardins de l'Ivresse

 

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2 - L'Hortulus des Capucins - Rue Wilson
Jardin de l'Ivresse


Rue Wilson .

Ce tout nouveau jardin secret a été créé à l'emplacement de l'ancien couvent des Capucins, d'où son nom. Le jardin est un fondu de gris et de blanc, ponctué de taches noires.

Jardins de l'Ivresse

 

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3 - L’enclos des cordeliers. Rue Wilson.
Les Jardins des Cordeliers

Rue Wilson.

Les cordeliers sont des religieux de l’ordre de Saint-François d’Assise.

Dans ce jardin de curé, fleurs et légumes cohabitent en parfaite harmonie dans 5 plessis de châtaigniers secs.

En levant les yeux, admirez la tour du collège Gambetta érigée au 17ème siècle.
Jardins de l'Ivresse

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4 - Le jardin de Saint-Jacques. Eglise St Barthélémy (14ème siècle).
Les Jardins de St Jacques

Eglise Saint-Barthélémy (14ème siècle).

Ce jardin est composé d'un pèlerin et d’une coquille Saint-Jacques réalisés en châtaignier sec, rappelant que Cahors est situé sur la route de Saint-Jacques de Compostelle, un des plus grands pélerinages d'Europe.

Les Jardins de St Jacques

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5 - Le jardin des pèlerins. Eglise St Barthélémy (14ème siècle).
Jardin des Pélerins

Eglise Saint-Barthélémy (14ème siècle).

Ce jardin clos est un véritable havre de paix, reposant et calme : un jardin méditatif aux doux parfums de sauge et de menthe, pour les pèlerins de passage.
Les Jardins de St Jacques

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6 Le closelet des croisades. Place Luctérius.
Le Jardin des Croisades

Place Luctérius.

Jardin d’inspiration militaire situé au pied de la Barbacane et de la Tour des Pendus (monument historique).
Des silhouettes en châtaignier tressé, représentent les croisés.
Les plantes sont celles rapportées des croisades.

Les Jardins des Croisades

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7 - Le petit clos des clarisses. Rue du Pape Jean XXII.
Petit clos des Clarisses

Rue du Pape Jean XXII. Nouveauté 2005

Ce petit jardin au fleurissement blanc et rose et culture de safran, évoque l’ancien monastère des Clarisses.

Le Petit clos des clarisses

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8 - Le jardin du passeur. Place Lafayette.
Le jardin du passeur

Place Lafayette. Nouveauté 2006

Le jardin du passeur est le plus grand des jardins secrets de Cahors.
Il est érigé sur 4 terrasses au pied de notre ancienne place “Gaillart“ qui était également le nom de l’une des portes de l'entrée haute de la ville au Moyen Age.

Le jardin du passeur

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9 - Le Sentier du Colporteur. Partie basse du passeur.
Le sentier du Colporteur

Partie basse du passeur . Nouveauté 2006

Des bacs métalliques et des cannes de Provence, agrémentés de vignes et de plantes médicinales, redessinent le sentier qui longe le Lot. .

Le sentier du Colporteur

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10 - L’herbularius de l’hôpital de grossia. Rue Fouilhac.
L'Herbularium de L'Hôpital de Grossia


Rue Fouilhac.

Ce jardin évoque la "théorie des signatures végétales" de Paracelse à la fin du Moyen-Age, c'est à dire l'association dans l'imaginaire collectif de telle plante pour soigner telle maladie.
Ici plantes médicinales et maladies sont associées.
La vigne et la couleur rouge du vin soignent forcément les maladies du sang.
Et la noix soigne le mal de tête

L'Herbularium de L'Hôpital de Grossia

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11 - La cour des Caorsins. Îlot Fouilhac.
La cour des Caorsins

Îlot Fouilhac.

Près de la fontaine musicale, un mur végétal et une végétation luxuriante évoquent la richesse des banquiers caorsins.


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12 - Le jardin de la Sorcière et du Dragon. Rue du Château du Roi.
Le Jardin de la Sorcière


Rue du Château du Roi.

Ce jardin clos est composé de plantes liées à la sorcellerie ( mandragore ).
Une amibe noire, symbole du mal en forme d'étoile, est redessinée au sol avec des graviers blancs.

Le jardin de la Sorcière et du Dragon

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13 - Le clos des jacobins. Eglise des jacobins.
Le Clos des Jacobins

Eglise des jacobins.

Ce jardin monochrome blanc est réalisé aux abords des ruines de l’ancien monastère des jacobins, inquisiteurs de Cahors.
Le terme ‘‘jacobins’’désignait les Dominicains français depuis l’installation de cet ordre à Paris en 1218.

Le Clos des Jacobins

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14 - L’hortus des dames de Cahors ou Bénédictines. Square Olivier-de-Magny.
L'Hortus des Dames de Cahors

Square Olivier-de-Magny.

Ce parc situé au coeur du quartier de la Daurade, est dédié aux Dames en référence à l’ancien couvent des Ursulines.
Il est clos de saules tressés.
De magnifiques maisons construites entre les 13ème et 17ème siècles offrent leurs façades aux regards des visiteurs.


L'Hortus des Dames de Cahors

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15 - La chapelle des Basmes. Square Olivier-de-Magny.

Square Olivier-de-Magny.

Dans l'enceinte de l'Hortus des Dames de Cahors, ce jardin est consacré aux différentes familles de parfums ( basmes au Moyen Age ).
Elles sont présentées dans des plessis de métal au-dessus desquels trône des ogives en châtaignier.


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16 - La fontaine Clément-Marot. Place Champollion.
La fontaine Clément Marot

Place Champollion.

Né à Cahors en 1496, Clément Marot écrira l’Enfer, qui constitue son oeuvre majeure et est considéré comme l’inventeur du sonnet dans la poésie française.
Au pied de la fontaine, on découvre une création de deux petits massifs encadrés de plessis de châtaignier sec.


La fontaine Clément Marot

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17- Le jardin bouquetier. Chevet de la Cathédrale Saint-Etienne.
Le jardin bouquetier

Chevet de la Cathédrale Saint-Etienne.

Du côté de la rue Foch, trois grands plessis de châtaignier tressé, proposent des fleurs pour la décoration des autels.
Le premier, de couleur blanche et bleue, est un hommage à la Vierge Marie.
Le second, rouge et orange, fait référence à la souffrance du Christ.
Enfin, le troisième, jaune et or symbolise le mystère de la Résurrection.


Le jardin bouquetier

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18 - L’herbarius, ou jardin des simples. Chevet de la Cathédrale Saint-Etienne.

Chevet de la Cathédrale Saint-Etienne.

Du côté de la rue de la Chantrerie, six plessis de châtaignier tressé, présentent une série de plantes simples, utilisées au Moyen Age pour se nourrir, se vêtir et se soigner.


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19 - La cour des copistes. Cour du presbytère de la Cathédrale Saint-Etienne.

Cour du presbytère de la Cathédrale Saint-Etienne.

Ce jardin est constitué de bacs en osier sec agrémentés de plantes utilisées pour les enluminures.


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20 - Le courtil des moines. Cour de l’Archidiaconé.

Cour de l’Archidiaconé.

Ce jardin est composé de carrés de plessis de châtaignier tressé, plantés de légumes oubliés ou peu connus, utilisés au Moyen- Age.


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21 - Le préau céleste. Cloître de la Cathédrale Saint-Etienne.

Cloître de la Cathédrale Saint-Etienne.

Le jardin du cloître, d’inspiration religieuse puisqu’il fait référence au Cantique des Cantiques, est composé de buis et de pieds de romarin
.

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22 - La place des épices. Place Alain-de-Solminihac.
La place des épices

Place Alain-de-Solminihac.

Les Epices ont suscité convoitises et fantasmes à travers tout le Moyen-Age.
Cahors était une étape importante sur la route des épices menant vers l'Angneterre et la Scandinavie.


La place des épices

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23 - Le jardin mauresque. Rue du Petit Mot.
Le Jardin Mauresque

Rue du Petit Mot.

Ce jardin d’inspiration arabe fait référence à l’occupation du Sud de la France par les troupes mauresques.

Il se compose de trois petits patios fleuris où le murmure de l’eau rivalise avec une végétation luxuriante aux parfums capiteux.


Le Jardin Mauresque

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24 - Le pourpris du vert galant Quai Champollion.

Quai Champollion.

Ce jardin est situé dans la cour de la maison de Roaldès.
La tradition veut que le roi Henri IV y ait séjourné une nuit de 1580, après la prise de Cahors par les Huguenots.
Il est composé de plantes réputées aphrodisiaques au Moyen-Age.


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25 - Le courtil de la Campas. Cours Vaxis.
Le courtil de la Campas

Cours Vaxis.

Ce nom provient de l’ancienne auberge située au bas de la rue Nationale au Moyen-Age, ce lieu de rencontre des commerçants et des bourgeois sonnait la cloche pour annoncer le moment du repas.
Un plessis de métal encadre des plantes servies à la Campas.


Le courtil de la Campas

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26 - Le Capitulaire de Villis. Promenade de Coty.
Le Capitulaire de Villis

Promenade de Coty.

Ce Jardin présentera dans une série de huit chambres de verdure, les plantes recommandées dans le capitulaire de Villis.
Promenade aménagée au bord du Lot et plantée d’anciens arbres fruitiers dont la pomme «Camy» originaire de Luzech.
A proximité, le Pont Louis-Philippe, a remplacé le Pont Vieux dont seuls les vestiges des piles sont visibles à l’étiage.


Le Capitulaire de Villis

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27 - L'Hortus de la Thériaque de la Maladrerie d'Outrepont Saint Lazare. Promenade Saint Georges.
Le Capitulaire de Villis

Promenade Saint Georges.

Ce lieu était utilisé comme léproserie.
La Thériaque, médicament miracle composé de cinquante ingrédients, était utilisée pour lutter contre la peste et la lèpre.

Le Capitulaire de Villis

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28 - L’hortus de la fée Mélusine. Parc Philippe-Gaubert.
L'Hortus de la fée Mélusine

Parc Philippe-Gaubert.

L'Histoire de la fée Mélusine est l'une des légendes les plus répandues au Moyen-Age.
Personnage d’un roman de Jean d’Arras en 1392, la fée Mélusine est une fée qui, tous les samedis ou en certaines occasions, se transforme en serpent.
Elle épouse le comte Raymondin, et lui fait promettre de ne jamais chercher à la voir le samedi….

Ce jardins se décline sue la couleur blanche entre rosiers et graminées.
L'Hortus de la fée Mélusine

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29 - Le lavandier des chanoines, ou augustins. Quai Cavaignac.

Quai Cavaignac.

Les augustins comprennent de nombreux ordres et congrégations.
Ils font partie, entre autres, des congrégations de chanoines.
Ce jardin est constitué de lavandes, il est bordé d'ogives en châtaignier.


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